Ne sont mentionnées que des plaidoiries et décisions posant des réels problèmes de droits ou de société.
Date de dernière mise à jour : 06 juin 2025
Ne sont mentionnées que des plaidoiries et décisions posant des réels problèmes de droits ou de société.
Date de dernière mise à jour : 06 juin 2025
Lundi 8 septembre 2025, 9 h
7, Rue Pierre Abélard au troisième étage de la cité judiciaire salle 319 à la Cité Judiciaire de Rennes
La SPRE poursuit une discothèque qui a refusé de lui régler les sommes qu’elle lui réclame au titre de la rémunération équitable.
La discothèque a soulevé une question prioritaire de constitutionnalité.
Mardi 9 septembre 2025, 9 h
Sur renvoi après cassation (Cass. soc. 15 novembre 2023, RG n° 22-15.071.
Une professeur de danse poursuit l’association qui l’a employée et lui réclame des arriérés de salaires au titre de la période que la Cour d’Appel avait considérée comme étant prescrite.
Le dossier est une conséquence de l’entrée en vigueur de loi du 14 juin 2013 ayant passé le délai de prescription des créances salariales de cinq ans à trois ans.
Mercredi 17 septembre 2025, 9 h 30
Salle Cambacérès, escalier Z, 2ème étage
la société Once Upon A Team et son gérant, monsieur David COUDYSER ont fait appel d’un jugement du tribunal judiciaire de Paris qui a les a débouté de l’intégralité de leur demandes à l’encontre de messieurs Thibaud BOIDIN, Benjamin GUIRAUD et de leur société BIRDY PROD et a :
Les intimés ont quant à eux diligentés appel reconventionnel et demandent d’infirmer le jugement de première instance qui les a débouté de leur demande de dommages intérêt formulée au titre de la contrefaçon de la pièce (tant sur le plan du droit d’auteur que sur le plan du droit des artistes interprètes).
Lundi 29 septembre 2025
Salle 6-13
Contentieux entre la société CALZADOS (marque Victoria) et un fabricant auquel elle reproche la contrefaçon de son modèles de sneakers et de sa marque.
Jeudi 02 octobre 2024
Section activités diverses, 14 h
1 rue de la Patinoire, 91011 EVRY-COURCOURONNES
Une artiste musicienne poursuit le producteur qui ne l’a pas rémunéré.
Une artiste avait été engagée par un producteur de spectacles pour participer à un certain nombre de représentations dans un cirque, l’orchestre étant engagé par ailleurs par le cirque. Le contrat prévoyait que les répétitions n’étaient pas rémunérées.
Après la première résidence de répétitions, l’artiste a sollicité la rémunération de son salaire, le chef d’orchestre a alors mis fin verbalement au contrat sans respecter le moindre formalisme, supprimant l’artiste du compte WhatsApp de l’orchestre, pratique de plus en plus courante.
L’artiste a alors sollicité du producteur signataire de son contrat de travail si le chef d’orchestre possédait cette prérogative et sommé par la même occasion le producteur de lui régler les salaires dû au titre des répétitions.
L’employeur n’ayant pas réglé le salaire, l’artiste a pris acte de la rupture de son contrat de travail dans les conditions organisées par la Convention Collective Nationale des Entreprises Privées du Spectacle Vivant en cas de non-paiement des salaires.
Elle sollicite donc du conseil de prud’hommes les salaires et dommages intérêts dus ainsi qu’une indemnisation au titre du travail dissimulé.
mardi14 octobre 2025